Les autorités antitrust de l'UE scrutent Adobe

Ah, notre glorieuse époque numérique ! Une période passionnante pour les technologies dynamiques et les opérations onéreuses de plusieurs milliards de dollars. Si vous êtes un peu comme votre dévoué serviteur, ces mouvements stratégiques sur l'échiquier technologique vous excitent autant qu'ils vous laissent légèrement perplexe. Prenez par exemple l'offre audacieuse d'Adobe pour engloutir Figma, une étoile montante de la conception en nuage. 20 milliards de dollars, vous pensez que c'est raisonnable ? Les régulateurs antitrust de l'UE, eux, hument plutôt une petite odeur de concurrence phagocytée. Nous y voilà donc !

Le géant Adobe a du mal à passer l'antitrust européen

L'armoire à glace d'Adobe n'arrive pas à franchir le filtre des régulateurs antitrust en Europe, c'est du moins ce qui ressort des informations sur cette offre d'achat faramineuse pour migrer Figma sous son aile protectrice et dominantissime. Si leur démarche aboutit, ces deux acteurs technologiques pourraient regner en seigneurs et maitres sur les secteurs mondiaux de la création de produits interactifs. Mais les contrôleurs européens restent sur leurs gardes. Le caméléon Adobe dévorerait-il ses rivaux pour s'approprier tout le pâté ?

Intégration sans alternance ?

Intégrer Figma dans le Creative Cloud pourrait offrir à Adobe un monopole déraisonnable. Imaginez, ce prédateur technologique se débarrasserait de compétition irritante et excluerait tous les concurrents de la course. Et hop, un coup de pince Adobe pour décimer l'opposition ? Pas si vite, mes amis européens veillent au grain !

Autant que l'ombre d'Adobe grandit, la lueur de Figma diminue

Figma, qui a su séduire une palette d'acteurs technologiques, allant de Zoom à Coinbase, en passant par les likes d'Airbnb, pourrait bien voir son élan entravé par ce dragon technologique. Doit-on laisser le phénix de l'Adobe l'engloutir et consolider son empire sur les outils de créations visuels ?

L'étau de l'antitrust européen se resserre

Le spectre d'une concurrence restreinte est bien vivant sur cette affaire. Margrethe Vestager, la commissaire européenne à la concurrence, fait part de sa ferme intention de garantir un large éventail de choix sur le marché des outils de création numérique, pour le bonheur des utilisateurs. Les autorités restent donc en éveil, prêtes à trancher le 14 décembre prochain. Suspense, oh doux suspense ! La question reste : Adobe réussira-t-elle à convaincre l'UE de donner le feu vert à cette acquisition ?

Fascinant, n'est ce pas ? Le dénouement de cette hitorie risque de ressembler à un coup de théatre. Pour mieux comprendre la situation et le contexte derrière cette décision, nous vous recommandons de lire cet article sur les mastodontes de l'IA qui créent une nouvelle structure pour leur autorégulation. Rendez-vous le 14 décembre !